Ce texte me fut inspiré par l’agression d’un corbeau sur un pigeon. Deux autres corbeaux tournaient autour de la scène, un pigeon cherchait, en vain, à porter secours. La victime tentait désespérément à se défendre, voire répliquer un coup ou deux de bec, mais rien n’y fit. Le corbeau finit son oeuvre et en fit son déjeuner.