Merci à son auteur. |
Le blues,
la gueule de bois,
réveille amer,
Peut-être,
pas si sûr.
Le blues,
la gueule de bois,
réveille amer
pour ceux qui le croient.
Le blues,
la gueule de bois,
réveille amer,
faut semblant
de l’attendu.
Le blues,
la gueule de bois
réveille amer
au tout libéralisme.
Le blues,
la gueule de bois,
réveille amer,
pour ceux du Royaume-Uni
voulant garder l’union.
Le blues,
notes de musique
pour une nouvelle chance
d’une Europe digne de ce nom
dans sa grande union.
Le blues,
sur la portée
recomposer l’air à jouer,
d’une gigue, d’un concerto,
en écrire la symphonie,
effacer le menuet,
d’une doctrine poudrée,
comme la perruque d’un temps dépassé,
remixer, pour demain, Eugène Potier,
debout les damnés de la terre,
pour un monde à refaire.
Le blues
n’a plus le goût amer,
mais l’harmonie
d’une œuvre qui s’épanouit.
B.Cauvin©24/06/2016
Bonjour Bernard
RépondreSupprimerLe blues magnifié par tes mots
pleins d'harmonie
Bisous et belle journée
Frieda
Bonjour Bernard,
RépondreSupprimer"Le blues,
la gueule de bois
réveille amer
au tout libéralisme." bien vu !! Ce monde de la finance m’écœure !