Comme chacun, mars, son printemps!
de retour, ses giboulées,
bombes sur le peuple Ukrainien,
Honte pour le Tsar rouge,
de ses mains salies par le sang d'innocents
Sur les toiles de la ville...
La femme à l'honneur,
les femmes sont à l'honneur
dans leur combat pour la vie.
Se faire bercer par le renouveau,
Se faire berner par la frénésie des illusions.
Comme chacun, mars, son printemps!
de retour, ses giboulées,
comme la colombe,
Annonce-t-il le retour de la paix
Ou bien, comme le corbeau,
est-il la porte de l'horreur guerrière..
Se faire bercer par le renouveau,
Se faire berner par la frénésie des illusions.
Comme chacun,
l'envie de partir,
parfois on ne sait où,
mais partir,
quitter ce monde infernal
Se faire bercer par le renouveau,
Se faire berner par la frénésie des illusions.
Comme chacun,
l'envie de se découvrir
quand arrive avril pourtant,
la prudence nous invite
à garder sa parka... et
Se faire bercer par le renouveau,
Se faire berner par la frénésie des illusions.
Comme chacun,
quelques lettres d'amour,
c'était hier, papier parfumé,
de l'être aimé...
Un clic sur l'ordi,
sans effluve, sans âme, le monde d'aujourd'hui,
avec le temps...
Se faire bercer par le renouveau,
Se faire berner par la frénésie des illusions.
B.Cauvin©10/03/2022
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