Ciel
Tu te pares
Du rouge comme phare
Sur tes joues
Se répandant
Comme le houx
Éclatant
Tu t'étires
Déchires
Languissant aux vents
Te poussant doucement
Tu prends ton temps
Tu te pares
Du rouge comme phare
Sur tes joues
Se répandant
Comme le houx
Éclatant
Tu t'étires
Déchires
Languissant aux vents
Te poussant doucement
Tu prends ton temps
Nous narguant
De tes rougeurs
Donnent de la couleur
Lentement
Au couchant
covix-lyon©24/03/2009
De tes rougeurs
Donnent de la couleur
Lentement
Au couchant
covix-lyon©24/03/2009
Un petit coucou par ici !!
RépondreSupprimerDe beaux écrits, je repasserai
Amitiés...
Valérie/Selene/Les entrechats
Bonsoir Selene,
RépondreSupprimerMerci de ta visite, je test Blogger, j'ai faillit y venir avant OB, mais comme je ne comprenais pas tout...
Ici je poste quelques poèmes anciens et le roman en ébauche.
Bises