Panen et circenses,
Plaudite, cives.
Et Lugdunum retrouve la paix,
En attendant la prochaine rencontre,
Duel fratricide où chacun apprécie l’autre,
Dans l’arène la crainte est grande, gardons le fair-play,
La coupe choisira son hôte sans qu’elle se vautre,
Comme souvent, elle le démontre.
Présage, on le verra, mais le feu céleste lui,
Râ s’en donne à son cœur réjoui.
B.Cauvin©07/07/2018
Bigre, le gout du sport n'altère pas ta culture Bernard, c'est vrai on se prend au jeu (de jambes !)
RépondreSupprimerBises
Panem et circenses...depuis toujours l'opium du peuple.
RépondreSupprimerGare à ce qui se trame derrière la liesse populaire, quand le roi décrète par ordonnances au coeur de juillet...
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Voila l'engouement pour le football bien décrit. Oui, du pain et des jeux !!
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