C’est un jeudi soir de la fin juin,
Jupiter trônait au cœur de la nuit céleste,
À sa droite, Saturne jetait son œil sur Colombine,
Qui se cachait derrière la cheminée de l’immeuble,
En exposant un halo nuageux, poussières célestes,
À sa gauche, l’étoile du berger,
La déesse Vénus allait au couchant,
Déjà à l’horizon Ouest Nord, Mercure s’évanouissait,
Alors que Mars, en son Est, comme un guerrier,
Ne tarderait pas à surgir.
Les Dieux et Déesses de l’Olympe montrent éternellement,
Leurs existences dans la voie céleste.
En ce début de juillet, c’est une réalité en cette nuit,
Passage d’un jour à l’autre tuant l’ennui,
Une fête comme jamais et dans la durée,
Dans un ciel à l’épaisse purée,
Feu d’artifice, roulement de tambour,
Danse de l’éléphant aux pas lourds,
Personne pour demander à ces voisins bruyants,
De se calmer et d’être moins brillants,
À force de beuverie, il faut éliminer,
Les arrosoirs en action dans cette nuit illuminée,
Souffrance rénale, éjection de cailloux blancs,
Avec l’inondation liquide de tous, restant en plan,
Pour eux la fête est belle,
Alors que recommence cette ritournelle,
Dans l’après-midi d’un début de juillet,
Un peu las, mais point encore se ferment les guillemets.
B.Cauvin©03/07/2018
Ces mots parlent mon langage stellaire, j'aime la compagnie des étoiles, et je prépare mes soirées « Astr’am » avec bonheur.
RépondreSupprimerMerci pour ce texte céleste qui me va droit au coeur.
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Les cailloux blanc et les douleurs rénales, en ce vacarme de fête, céleste ou pas, c'était toi
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