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source: web
Une soubrette passait assez souvent près d'eux, Benoît ne manqua pas de tirer une fois sur le cordon du tablier, elle fit une moue, pas trop, manifestement elle n'attendait que cela... Ayant vidé les gobelets, et pratiquement fini les assiettes elle revint servir un pot de ce breuvage qui délectait leur palais, en quittant la table elle prit la main de Benoît, il se leva et tous deux disparurent dans une autre aile du bâtiment.
- En voilà un qui va retrouver du réconfort dit Meunier.
- Il va s'en dire...
La porte se referma sur eux, la fille poussa le verrou, elle s'approcha de Benoît, elle commença à dégrafer sa veste, sa chemise, caressa son torse imberbe, il lui retira le tablier, le corsage laissant libre ses seins. Il s'en empara les malaxaient, caressaient, la soubrette le mit torse nu, leur peau ce touchait, elle lui offrit ses lèvres, il y goûta, puis c'est allongé sur le lit qu'ils se retrouvèrent, ses bottes n'étaient plus à ses pieds, le pantalon glissa au sol, la soubrette souleva son jupon, laissant voir la chair de ses cuisses, Benoît allongea son corps entre elles, le sexe que la donzelle massait avait prit son érection, lui titillait le sien, elle l'invita... il répondit en la pénétrant. Le plaisir des corps vibrait sur le lit, la fille savait y faire et Benoît n'était pas de reste, le jeu de la bête à deux dos offrait son mystère à eux, ils en surent la solution quand la soubrette lâchât un râle qui disait tout le bien qu'elle pense du garçon, celui-ci ce déchaîna après coup et gaillardement ancré, il déposa les armes en s'allongeant sur son corps... La tempête passée, les corps détendus, les vêtements retrouvaient leur fonction première, celle de donner une tenue descente à l'être qui les porte, ils sortirent et regagnèrent la salle où attendaient Hubert et Meunier... C'est alors que surgit une rousse, belle au demeurant et s’empara du marquis, une autre vint chercher le précepteur. Des mâles présents dans l'auberge un certains nombre eurent à rendre les honneurs.. d'autres sans doute un peu envieux ne le purent, ils étaient accompagné des épouses... Benoît sorti et rejoignit le cocher, ils firent un brin de causette et d'après les informations reçut, il fallait être méfiant sur le parcours, des brigands sévissaient. Arriva Hubert et Meunier ravis de cet rencontre. Benoît fut rassuré des moeurs du jeune marquis, il avait des doutes. Malvoisin attela les chevaux, il était temps de partir pour le relais de nuit... qui les attendait en bout de cette journée.
Sur la route récemment construite, son tracée était rectiligne, on avait coupé des anciens méandres pour en faire une ligne bien plus droite, le carrosse allait bon train.
- Le cocher fut averti que des malandrins fourbissaient sur ce parcours, dit Benoît.
- Il nous faut redoubler de vigilance, reprit Meunier en sortant un pistolet de sa besace, prêt à l'emploi.
- Hé. bien monsieur le précepteur, je ne vous savais pas si prévoyant?
- Oh! monsieur le marquis, c'est que les voyages nous enseignent beaucoup.
- Je n'en doute pas... la preuve.
Pas d'affolement quand au conducteur, il maîtrisait bien son équipage et le carrosse allait bon train. Peut être que les garnements avaient officié le matin même, ils n'en rencontrèrent pas l'ombre d'un jusqu'à l'arrivé dans l'auberge. Les Chevaux furent placés à l'écurie, les malles montées dans les chambres, le véhicule remisé, il ne sortira qu'au matin pour reprendre la route, tirer encore 10 lieues... peut un peu plus, tout dépend du dernier relais...
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Bonsoir Covix,
RépondreSupprimerAinsi donc, nos deux héros ont semble-t-il passé du bon temps dans ce relais. La route qui suit leur fera sans doute connaître d'autres bons moments comme celui-là.
Bonne soirée... dévergondée,
Amitiés.