mardi 28 janvier 2014

Benoît et le grand tour (108)

 Il faut redoubler de précautions, les membres du club décidèrent de réduire le nombre des invités dans ce genre de réunion, hormis une après midi musical. Ce sera par petit groupe qu’ils se retrouvent pour taper le carton !, tantôt ici tantôt là. Benoît ne manque pas d’en organiser. Sa belle n’est pas toujours rassurée, elle le lui fait savoir, il est conscient des risques mais l’avenir s’ouvre.

 La nouvelle année arrive avec son cortège de désolation et aussi un événement important pour les loges maçonnique française, elles se sont réorganisées au sein du « Grand Orient de France ».  Elles sont au nombre de 200 loges et ne cesse de croître au fil des ans, il y en aura quarante mille 16 années plus tard.
  En 1773, le roi veuf de Marie Leszczynska et ayant perdu sa favorite, Mme de Pompadour, tombé en amour pour madame du Barry qu’il voulait épousé, mais l’hostilité de la famille royal, surtout ses filles, de Mr de Chevreuil et ses partisans firent échouer le projet de mariage. L’année une fois de plus connue la disette, les mauvaises récoltes, l’envolé des prix, à Bordeaux il y eu même une émeute qualifié de « l’émeute de la faim ». de plus en plus le peuple gronde, mais pas que lui, une partie de l’aristocratie qui voit d’un mauvais œil l’horizon se noircir, elle tire la bobinette d’alarme, mais rien ne semble changer.

  Le temps s’écoule, les enfants de Benoît ; Hubert grandissent, le roi pour le peuple n’existe plus, de sa mort spirituel auprès de lui arrive la réelle en Mai, cela laissa le peuple dans une indifférence, voire manifesta son hostilité, son mépris envers le monarque, il fallut l’enterrer en secret, de nuit. De bien aimé, il passa au mal aimé.
A suivre

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